📓 Carnet de bord – Clément, 18 juin 2025 (👽️)
Entrée : "L’ordre dans le chaos – quand les chiffres du "phénomène" parlent d’eux-mêmes"
J'ai encore du mal à redescendre. Ce matin, j’ai écouté l’entretien entre Simon et Michael Vaillant (YouTube, 1h20) et quelque chose s’est noué au creux de mon plexus. Ou peut-être s’est-il dénoué.
Depuis des années, une intuition m’accompagne, presque dérangeante dans sa persistance : le phénomène des apparitions OVNI n’est pas chaotique.
Il est orchestral. Programmé. Presque... pédagogique.
Et voilà qu’un chercheur, calme, rigoureux, un data-scientist du GEPAN, met au jour ce que mon intuition soupçonnait : le phénomène des apparitions suit une loi.
Une loi mathématique. Une loi d'espacement temporel optimisé, identique à celle de l’apprentissage humain. Une leçon dispensée à l’échelle planétaire, non pas pour une élite ou des éveillés, mais pour tous.
Je note, presque en tremblant :
« Une loi de puissance de deux… appliquée aux vagues d’observation d’ovnis. Une équation. Une intention. »

Je me revois, plus jeune, fasciné par ces vagues, ces surgissements d’objets et de récits étranges dans l’espace public, toujours suivis de silence. Des montées en puissance, puis des replis. Comme une respiration cosmique. Et moi, aujourd’hui, adulte, entend enfin cette respiration comme une syntaxe. Une structure.
J’en avais parlé une fois, presque à voix basse : « Et si ce qu’on appelle “contact” était un processus d’apprentissage lent, calibré, patient… ? » À l’époque, j’avais reçu des regards polis, vaguement compatissants. Mais je sentais que quelque chose dans l’étrangeté elle-même obéissait à une forme. Le chaos apparent dissimulait un algorithme intentionnel.
Et aujourd’hui, Michael le confirme.
Ça me secoue. Ce n’est pas un témoignage évanescent, ce n’est pas une rumeur ou un frisson partagé entre initiés. C’est de la statistique. La langue préférée de l’Univers, disait je ne sais plus qui.
Et si cette langue avait été parlée sous nos yeux, dans le ciel, depuis 1945 ?
La leçon
« Et la leçon, c’est quoi ? C’est qu’il y a des intelligences qui viennent sur Terre. Elle est aussi simple et aussi bête que ça, j’ai envie de dire. Mais rien que cette leçon, en soi, c’est un choc culturel. »
Michael Vaillant
Tout est là . Ce n’est pas une révélation spectaculaire. C’est une pédagogie patiente, qui s’adapte au rythme de digestion de nos sociétés humaines. Une conduite du changement à l’échelle civilisationnelle. Ce que le phénomène enseigne, ce n’est pas seulement qu’il est là , mais comment être là avec lui.
Michael Vaillant va plus loin. Il parle d’une double trame : une trame temporelle (les vagues), et une trame spatiale (les lieux). Il trouve une autre corrélation mathématiquement robuste : les phénomènes les plus étranges se manifestent près des sites nucléaires, des zones polluées, et dans des régions “résistantes” culturellement.
Je relis la transcription plusieurs fois. Ce n’est plus seulement un phénomène. C’est une intelligence observatrice, peut-être même régulatrice. Une écologie du sens, adressée à la fois à nos lieux blessés, et à nos angles morts. Comme si le phénomène ciblait là où l’humain ne veut pas voir. Comme si l’anomalie servait d’enseignante.
Je repense à Polly, à Charles, à l'INEXCO et au reste. À notre manière de préparer les “failles”. Et je me dis : on fait la même chose, à notre échelle. Créer des lieux d’émergence du sensible, offrir des micro-vagues de déconditionnement progressif.
Est-ce que notre travail s’inscrit dans cette même dynamique ? Sommes-nous, nous aussi, pris dans l’instruction silencieuse d’une altérité plus vaste ?
Je garde une dernière date en tête : 2035
D'après Michael, la fin de la leçon est mathématiquement programmée pour 2035.
Et qu'arrive-t-il une fois que la leçon de leur présence est arrivée à son terme ?
Le contact ?
Note pour moi-même : Je suis toujours sidéré de voir à quel point le sujet n'est toujours pas autorisé dans le débat public français, en ce mois de juin 2025.
Future chronique sur la lenteur du changement des dogmes, sur l'hypnocratie narrative et les preuves qu'on ne veut (ou ne peut ?) pas voir.
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